Les Okura seraient le mieux définis par "droiture", "loyauté" et "honnêteté". Ils font en outre toujours preuve d'une grande valeur morale et d'un profond respect de l'ordre social, tout en demeurant d'une grande modestie. Stricts mais bienveillants, leur jugement est impartial et ils sont d’une grande dévotion pour le Shogun, envers lequel ils sont reconnaissant d'avoir apaisé le pays.
Historiquement, ce clan est entré dans la légende pour ses samouraïs redoutables, une position à laquelle même les femmes ont su prétendre. Mais il y a de cela cinq siècles, ils se sont brusquement et pour une raison inconnue retirés dans les montagnes au nord du pays, où ils ont vécu en autarcie, période durant laquelle ils atteignirent presque le statut de mythe. Ils ne se mêlaient plus des affaires des autres clans, et beaucoup ont alors pensé qu'ils avaient perdu leurs techniques ancestrales de combat. La guerre de réunification a prouvé autrement, mais une chose est sûre : en dépit de leurs prouesses guerrières, les Okura font paradoxalement tout ce qui est en leur pouvoir pour ne pas avoir à mener de guerre...
A la cour d'Edo, Okura Atsuyuki, fils héritier du Daimyô, a été nommé main gauche du Shôgun, juste derrière les Urakami, au nom de la sagesse reconnue de son clan. Il contrôle aussi le Metsuke, l'élite guerrière chargée de protéger la ville, dont la plupart des membres viennent de Okura. Son père, Okura Tadasuke, Daimyô actuel de son état, ne souhaite pas quitter ses terres du fait de son âge avancé, et a reçu une autorisation spéciale du Shôgun pour ce faire.
Épris d'ordre et de justice, Atsuyuki et le reste de sa cour surveillent étroitement les agissements des autres nobles dans le but d'assurer l'ordre politique et la sécurité de Tsunayoshi, qu'il tente d'éduquer avec rigueur et bienveillance presque comme son père l'aurait fait. Ils sont méprisés par les Urakami qu'ils tentent de canaliser, et qui les voient comme un rival. Atsuyuki tente aussi de forcer Hizenbô, Daimyô de Shiba à les épauler face à la révolte de son propre peuple, mais se heurte souvent à son incompétence débonnaire.
Bien qu'autrefois, elles furent de grands samouraïs, la grande majorité des femmes ne porte guère les armes à la capitale pour ne pas heurter les sensibilités. D'autre part, beaucoup d'hommes sont partis officier à Edo et à Shiba, par conséquent les guerrières restent au clan pour le protéger. Elles sont donc aussi responsable de l'éducation militaire des enfants. Plusieurs d'entre elles ont été invitées à Seno pour enseigner ce même art là-bas. Ce clan maintient des liens très forts entre castes, et est naturellement altruiste. Tout habitant de Okura est égal, l'éducation (y compris militaire) est obligatoire. Les samouraïs aident les paysans quotidiennement et même les étas sont traités avec respect.
Quelque soit sa profession, un Okura se doit de toujours se comporter avec honneur et moralité, les mœurs romantiques et sexuelles sont donc très traditionnelles conventionnelles. Le moindre crime ou entorse au code moral est sévèrement puni d'expulsion. Beaucoup de jeunes d'Okura tombés en délinquance sont ainsi expulsés et louent leurs lames dans les autres clans.
Malgré cet extrémisme moral, ils sont pourtant moins porté sur la religion que les autres : ils croient en les kami et respectent les yokai, mais laissent leurs membres choisir et pratiquer les croyances qu'ils souhaitent.
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Historiquement, ce clan est entré dans la légende pour ses samouraïs redoutables, une position à laquelle même les femmes ont su prétendre. Mais il y a de cela cinq siècles, ils se sont brusquement et pour une raison inconnue retirés dans les montagnes au nord du pays, où ils ont vécu en autarcie, période durant laquelle ils atteignirent presque le statut de mythe. Ils ne se mêlaient plus des affaires des autres clans, et beaucoup ont alors pensé qu'ils avaient perdu leurs techniques ancestrales de combat. La guerre de réunification a prouvé autrement, mais une chose est sûre : en dépit de leurs prouesses guerrières, les Okura font paradoxalement tout ce qui est en leur pouvoir pour ne pas avoir à mener de guerre...
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A la cour d'Edo, Okura Atsuyuki, fils héritier du Daimyô, a été nommé main gauche du Shôgun, juste derrière les Urakami, au nom de la sagesse reconnue de son clan. Il contrôle aussi le Metsuke, l'élite guerrière chargée de protéger la ville, dont la plupart des membres viennent de Okura. Son père, Okura Tadasuke, Daimyô actuel de son état, ne souhaite pas quitter ses terres du fait de son âge avancé, et a reçu une autorisation spéciale du Shôgun pour ce faire.
Épris d'ordre et de justice, Atsuyuki et le reste de sa cour surveillent étroitement les agissements des autres nobles dans le but d'assurer l'ordre politique et la sécurité de Tsunayoshi, qu'il tente d'éduquer avec rigueur et bienveillance presque comme son père l'aurait fait. Ils sont méprisés par les Urakami qu'ils tentent de canaliser, et qui les voient comme un rival. Atsuyuki tente aussi de forcer Hizenbô, Daimyô de Shiba à les épauler face à la révolte de son propre peuple, mais se heurte souvent à son incompétence débonnaire.
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Bien qu'autrefois, elles furent de grands samouraïs, la grande majorité des femmes ne porte guère les armes à la capitale pour ne pas heurter les sensibilités. D'autre part, beaucoup d'hommes sont partis officier à Edo et à Shiba, par conséquent les guerrières restent au clan pour le protéger. Elles sont donc aussi responsable de l'éducation militaire des enfants. Plusieurs d'entre elles ont été invitées à Seno pour enseigner ce même art là-bas. Ce clan maintient des liens très forts entre castes, et est naturellement altruiste. Tout habitant de Okura est égal, l'éducation (y compris militaire) est obligatoire. Les samouraïs aident les paysans quotidiennement et même les étas sont traités avec respect.
Quelque soit sa profession, un Okura se doit de toujours se comporter avec honneur et moralité, les mœurs romantiques et sexuelles sont donc très traditionnelles conventionnelles. Le moindre crime ou entorse au code moral est sévèrement puni d'expulsion. Beaucoup de jeunes d'Okura tombés en délinquance sont ainsi expulsés et louent leurs lames dans les autres clans.
Malgré cet extrémisme moral, ils sont pourtant moins porté sur la religion que les autres : ils croient en les kami et respectent les yokai, mais laissent leurs membres choisir et pratiquer les croyances qu'ils souhaitent.
• Alliés : Seno & Kagawa
• Ennemis : Urakami & Shiba
• Traits : Loyauté, Code du Guerrier, Égalité
• Croyances : Libres
• Ennemis : Urakami & Shiba
• Traits : Loyauté, Code du Guerrier, Égalité
• Croyances : Libres
- Relations avec les Kagawa : Ils respectent leur ascension sociale et leur statut de régents. Reconnaissants d'avoir unifié le pays, ils leur apportent un soutien infaillible et respectent les lois qu'ils instaurent. Les deux clans sont proches et les Kagawa savent qu'ils peuvent compter sur leur dévotion et leur sens de la justice pour assurer un certain équilibre dans le jugement des différents clans.
- Relations avec les Urakami : Au coude à coude en tant que main droite et main gauche de Tsunayoshi, les Okura ne supportent pas les tendances opportunistes des Urakami et leurs mœurs, mais ne peuvent questionner la confiance que le Shôgun leur porte. Ils se contentent donc de les surveiller de près pour vérifier qu'ils observent bien le respect des lois et des mœurs instaurées par le régime.
- Relations avec les Seno : Charmés par la présence d'esprit de Seno et de leurs femmes savantes, beaucoup de guerriers d'Okura perçoivent aussi les mœurs libérées de Seno comme un paradis défendu qui leur plaît sans qu'ils n'osent l'admettre. Beaucoup de guerrières d'Okura soucieuses de voir du pays partent enseigner la voie du guerrier à Seno.
- Relations avec les Shiba : Les Okura n'apprécient pas le désordre social et le développement de la criminalité à Shiba, bien qu'ils soient aussi conscients que le peuple ne fasse que répondre au traitement silencieux que Hizenbô leur inflige. Ils aimeraient le démettre de ses fonctions, mais la mère du Shôgun, une Urakami qui l'a pris sous son aile, refuse de donner suite à leur requête.