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Le Grand Yokaï
# Les Mœurs - Lun 22 Oct - 22:18
Le contexte dans le quel vous allez évoluer est régie par de nombreuse règles sociales qu'il est important de connaitre afin de correspondre au maximum à la vie actuel à l'ère d'Edo. Pour vous aidée au mieux, vous trouverez ici et de manière brève mais complète ses quelques règles de vie que vous allez devoir respecter lors de vos péripétie. Les quatres points suivant sont les points principaux à suivre, pour autant d'autre sont dévelloper, et complèterons ce qu'il y à de résumé ici. Vous trouverez pour le moment :




D'autre s'ajouterons au fur et à mesure mais sachez qu'ils sont tout aussi utile mais pas aussi important que les paragraphes développer ci-dessous.

Le respect et la politesse/


Les classes et les statut hiérarchiques sont très importants. Les plus haut placés restent toujours le Shogun, maître suprême, puis viennent les daimyo et ensuite les classes guerrières regroupant aussi bien le metsuke que les moines. Un peu plus bas, on trouve les marchand, puis les artistes. Pour finir, on trouve les paysans puis les etas. Le respect de la hiérarchie est primordial et un manquement à cette règle est punissable, que cela soit par un enfermement ou encore par la torture et même la mort.
Le respect des aînés est aussi très ancré dans la culture. En effet, on respecte les personnes âgées peu importe le statut qu’elles détiennent (sauf pour les paysans et les etas). Les salutations sont formelles, et l’inclinaison de la tête et du buste est proportionnelle à la position hiérarchique de la personne à laquelle on s’adresse.
On s’adresse à autrui par son nom de famille et son appartenance clanique quand il à un statut important si non il ne possède qu'un prénom. Les prénoms sont utilisés par les proches seulement dans le cas de grand statut.
Chaque classe et âge possède une tenue vestimentaire adaptée. Cela permet en général de savoir rapidement à quel individu on a à faire, mais certains en profite pour se camoufler et cacher leurs identités en utilisant des tenues d’une autre branche sociale.Cela peut cependant dans certains cas être un crime grave.
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Les hommes et les femmes/


En plus des relations hiérarchiques et du respect dû aux aînés, il y a aussi des codes à respecter en tant qu’homme ou femme. L’homme se doit d’être fort, et respectable. Il doit imposer ses choix à sa famille et c’est lui qui travaille pour la nourrir. Les hommes sont généralement cultivés et ont la responsabilité du moindre méfait que pourrait commettre leurs femmes.
Celles-ci quand à elles, dans la plupart des cas (exception faite pour le clan Seno), n’ont pas accès à certains métiers et sont même plutôt effacées : les plus nobles se contentent de gérer la maison et les enfants, ainsi que le bon accueil des invités. Celles de plus basse naissance quant à elles aident parfois leur mari paysans ou commerçants dans leurs tâches si celui-ci l‘accepte. Elles ont bien plus d’importance que certains hommes en devenant prêtresses, ce qui leur confère un statut social équivalent à celui d’un prêtre ou d’un moine.
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La sexualité/


La sexualité n’est pas forcément taboue. Elle est souvent libre dans le Yoshiwara, laissant court alors à une grande liberté, que l’on soit heterosexuel ou autre. Il n’est pas rare non plus que certains participent à des jeux sexuels à plusieurs. Pour autant, le sujet reste très personnel, et le secret est de rigueur quant aux différentes tendances et plaisirs de chacun.
Les femme, hormis celle du Yoshiwara, gardent en général une certaine pudeur. Les couples mariées sont généralement fidèles, et les femmes se doivent d’offrir leurs corps à leur mari quand celui-ci le désire (même sans leur consentement). Les concubines, quant à elles, sont à la disposition du Shogun seulement.
Les artistes créent de nombreuses estampes représentant des actes sexuels afin de satisfaire certains hommes seuls. Les maison de plaisir accueillent nombre de visiteurs, souvent masculins, où de jeunes femmes sont disposées au bon plaisir des messieurs. Des prostituées vendent aussi leurs corps dans les rues, et les auberges de plaisirs ouvrent leurs chambres à tout ceux prêts à s’amuser.
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Les croyances/


Les temples et croyances ont une très grande importance et leurs membres vivant dans ceux-ci bénéficie aussi d’un statut très respecté. On observe deux religions avec des préceptes différents.

Religion Shinto : Les Kamis au nombre de 15, sont représentés sous forme humaine et/ou monstrueuses qui influent sur : le soleil, la lune, la pluie, les tempêtes, la fertilité…

Les prêtresses Shinto sont exclusivement des femmes. Au vu de la puissance des pouvoirs qui leurs sont conférés, elles doivent vouer totalement leur vie entièrement au culte.
Elles sont les seules à pouvoir bénir les amulettes de protection contre les Yokai ainsi que les armes utilisées par les combattants religieux. Les prêtresses Shinto sont aussi celles qui confèrent leurs pouvoirs aux hommes afin de leurs permettre de voir les Yokai.

Elles perdent ce pouvoir si elles quittent leur temple. Elles peuvent garder certains pouvoirs mineurs tel que la divination.

Religion Obaku : Les Shichi Fukujin aux nombre de 7,sont représenté sous forme Humaine et sont les divinité de la chances et du bonheur de la fortune

Les prêtres Obaku sont exclusivement des hommes. Ils ont moins de responsabilités par rapport aux chishi fukujin et peuvent avoir une vie relativement normale à côté de la religions tout en investissant leur temps pour leurs temple, poursuivre leurs entrainement ou encore servir le peuple contre les Yokai.

Ils peuvent se battre contre les Yokai, ce pouvoir de voir, toucher et appréhender les Yokai leur est transmis par les prêtresses Shinto. Ils ne le perdent pas en quittant leur temple.

Les Yamabushi : Les hommes et femmes qui ont quitté leurs temples et qui ont décidé de ne plus suivre la voie qui les guidaient jusqu’à présent. Il peuvent vouloir plus de liberté tout en gardant la même foie mais peuvent aussi changer de croyance, ainsi les hommes peuvent être shintoïste (relier à la religion Shinto et les kami) et les femme être bouddhiste (relier à la religion de l’Obaku et les Shichi fukujin).
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